Pourquoi tu n’arrives pas à perdre du poids durablement (et comment enfin y parvenir)
Les raisons pour lesquelles la majorité des régimes échouent
Si les régimes promettent souvent des résultats rapides, la plupart échouent dès que la phase stricte s’arrête. Ce n’est pas un manque de volonté, mais une question de méthode. Voici les erreurs les plus fréquentes qui sabotent les efforts, même chez les personnes les plus motivées.
1. Un déficit trop brutal
Baisser ses calories trop vite provoque une perte de poids initiale, mais aussi une forte baisse d’énergie, des fringales et une adaptation métabolique. Résultat : le corps ralentit, la frustration augmente, et la reprise de poids devient quasi inévitable.
2. Le manque de repères sur ses besoins réels
Beaucoup de personnes sous-estiment ce qu’elles mangent ou surestiment leur dépense énergétique. Sans connaître son métabolisme de base (BMR) et son niveau d’activité (TDEE), impossible d’ajuster ses apports efficacement.
3. L’absence de suivi objectif
Se fier uniquement à la balance est une erreur. Les fluctuations d’eau et d’hormones peuvent masquer les progrès réels. Un suivi basé sur plusieurs indicateurs (photos, mensurations, performances, bien-être) permet d’ajuster sans paniquer.
4. Le stress, le manque de sommeil et le “tout ou rien”
Ces facteurs impactent directement les hormones de la faim (ghréline, leptine) et la récupération. Un mode de vie déséquilibré rend tout déficit plus difficile à tenir. Ce n’est pas seulement une question de calories, mais d’équilibre global sur la durée.
Ce que font différemment les personnes qui réussissent
Certaines personnes parviennent à transformer durablement leur corps, là où d’autres stagnent malgré leurs efforts.
La différence ne tient pas à la génétique ou à la chance, mais à des habitudes précises et durables. Voici ce qu’elles font autrement.
1. Elles mesurent sans se restreindre
Plutôt que de supprimer des aliments, elles apprennent à les quantifier.
Connaître la valeur énergétique des repas permet de garder de la flexibilité tout en progressant.
Elles utilisent des outils simples — comme une application de suivi ou un tableau de macros — non pas pour se limiter, mais pour mieux se comprendre.
2. Elles ajustent progressivement leurs calories
Au lieu de tout changer d’un coup, elles réduisent légèrement leurs apports, observent les effets, puis ajustent.
Cette approche graduelle permet de préserver la performance, la satiété et la masse musculaire, tout en évitant la sensation de privation.
3. Elles bougent plus sans “faire plus de sport”
Leur secret : le NEAT (activité physique quotidienne hors entraînement).
Marcher davantage, prendre les escaliers, bouger régulièrement au travail… ces gestes simples représentent une dépense énergétique importante sur la durée et facilitent le maintien du déficit sans effort supplémentaire.
4. Elles s’appuient sur une structure claire
Plutôt que de naviguer à vue, elles suivent un cadre précis : plan alimentaire adapté, séances planifiées, temps de repos, et suivi des progrès.
Cette structure leur permet d’être constantes, de ne pas douter à chaque étape, et de garder confiance dans le processus.
La méthode que j’applique avec mes coachés
Chaque personne est différente, et c’est précisément ce que la plupart des régimes oublient.
Mon approche repose sur une compréhension fine du métabolisme, des besoins hormonaux et du rythme de vie de chacune.
L’objectif : des résultats durables, sans frustration ni extrêmes.
1. Calcul personnalisé (BMR, TDEE, macros)
Avant toute chose, je détermine le métabolisme de base (BMR) et la dépense totale journalière (TDEE).
À partir de ces données, je définis une répartition des macronutriments adaptée à ton objectif (perte de poids, maintien ou recomposition).
C’est cette base chiffrée qui permet de créer un plan réaliste, flexible et durable.
2. Ajustements selon la phase hormonale et la fatigue
Le corps féminin n’est pas linéaire.
Les besoins énergétiques, la récupération et la satiété varient selon les phases du cycle hormonal ou les périodes de stress et de fatigue.
J’intègre ces fluctuations dans le suivi pour éviter les baisses d’énergie, les fringales et les plateaux.
3. Répartition des repas selon la journée
Plutôt que d’imposer un nombre fixe de repas, j’adapte leur répartition à ton emploi du temps et à tes préférences.
Certaines préfèrent 3 repas principaux, d’autres 4 ou 5 collations plus légères.
L’idée est d’optimiser ton énergie, ta digestion et ta performance à l’entraînement.
4. Suivi et corrections hebdomadaires pour éviter les plateaux
Chaque semaine, on analyse ensemble les données : poids, photos, ressenti, performances, sommeil.
Ce suivi objectif permet d’ajuster les calories, la charge d’entraînement ou les repas si nécessaire,
afin de maintenir la progression sans jamais repartir de zéro.
Ton plan d’action concret pour amorcer le changement
Tu n’as pas besoin d’un énième régime, mais d’une base claire et personnalisée pour comprendre ton corps.
Voici un plan d’action simple et progressif pour amorcer le changement sans te frustrer ni te perdre dans les détails.
Étape 1 : Suivre ton alimentation pendant 3 jours
Note ce que tu manges habituellement, sans rien modifier.
L’objectif n’est pas de te juger, mais de prendre conscience de tes apports réels : quantité, fréquence, satiété, habitudes émotionnelles.
Ces données constituent le point de départ de toute démarche sérieuse.
Étape 2 : Identifier ton niveau d’activité
Regarde combien de pas tu fais en moyenne par jour, combien de séances de sport tu réalises, et à quel rythme tu bouges dans ta journée.
Cette observation permet de définir ton TDEE, c’est-à-dire ta dépense énergétique totale, et d’ajuster les calories sans tomber dans l’excès.
Étape 3 : Créer une marge légère de déficit
Pas besoin de tout bouleverser.
Réduis simplement tes apports de 10 à 15 % en moyenne (par exemple, 200 à 300 kcal de moins par jour).
Un déficit trop agressif freine ton métabolisme, alors qu’un léger ajustement bien calibré est beaucoup plus durable.
Étape 4 : Focus sur la constance, pas sur la perfection
Le progrès ne dépend pas d’une semaine parfaite, mais de la régularité sur la durée.
Si tu appliques ces principes 80 % du temps, les résultats viendront naturellement.
Ton objectif n’est pas d’être stricte, mais d’apprendre à être cohérente avec ton mode de vie.
Tu veux aller plus vite sans tâtonner ?
Si tu veux passer à l’action avec un cadre clair, sans douter à chaque étape ni te demander si tu fais “bien les choses”, je peux t’accompagner personnellement.
Mon rôle, c’est de t’aider à structurer ton entraînement, tes repas et ton suivi pour que tes efforts paient enfin.
Chaque programme est construit autour de ta morphologie, ton rythme de vie et ton objectif, avec des ajustements hebdomadaires pour que tu progresses sans frustration.
Si tu veux qu’on en parle ensemble, tu peux remplir ce court formulaire pour me présenter ton profil 👇
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Combien de temps faut-il pour voir des résultats durables ?
La majorité des personnes observent des changements mesurables en 4 à 6 semaines avec un déficit léger et régulier, et une progression nette en 12 semaines. L’objectif est la constance, pas la vitesse.
Peut-on perdre du poids sans faire plus de sport ?
Oui, en augmentant le NEAT (pas, déplacements, escaliers). C’est souvent plus durable que d’ajouter des séances cardio. L’idéal reste une combinaison musculation + NEAT pour préserver la masse musculaire.
Que faire si je stagne malgré mes efforts ?
Vérifie d’abord le sommeil, le stress, les pas quotidiens et la cohérence des portions. Puis ajuste légèrement : −100 à −150 kcal/jour ou +1 000 à +2 000 pas/jour. Un suivi multi-indicateurs (poids, photos, mensurations) aide à objectiver.
Le jeûne intermittent est-il nécessaire pour maigrir ?
Non. C’est un outil de gestion des repas, pas une obligation. Si cela correspond à ton rythme et t’aide à être régulière, c’est utile. Sinon, une répartition classique fonctionne tout aussi bien.
Les hormones et le cycle influencent-ils la perte de poids ?
Oui. Rétention d’eau, appétit et énergie varient selon les phases du cycle. On évite les conclusions hâtives en prémenstruel et on adapte l’entraînement et les apports si besoin.
Puis-je perdre du gras et gagner du muscle en même temps ?
C’est possible surtout chez les débutantes, avec une musculation structurée, des protéines suffisantes et un léger déficit. Le suivi et les ajustements hebdomadaires sont clés.
Comment connaître mes besoins caloriques réels ?
On estime le BMR et le TDEE, puis on valide par l’observation sur 2 à 3 semaines. Si tu veux une estimation et des repères personnalisés, nous pouvons l’établir ensemble pendant l’onboarding.
Tu peux aussi me présenter ton profil via ce court formulaire : postuler à l’accompagnement.
